lundi 12 juillet 2010

Pays post-communistes: Le déclin de la démocratie se poursuit selon Freedom House

Selon le rapport exhaustif de Freedom House sur 29 pays post-communistes d’Europe et d’Asie, « Nations in Transit » (Nations en transition), les États ne sont pas parvenus en 2009 à inverser la tendance aux reculs démocratiques, que l’on constate depuis une décennie dans la région.
Par rapport à 2008, quatorze États ont reçu une cote générale inférieure, établie selon des indicateurs comprenant notamment la force de la société civile, le degré de corruption, le processus électoral et l’indépendance des médias. « Les conclusions des Nations en transition donnent à penser qu’il y a une crise de gouvernance dans l’ancienne Union soviétique, une crise profonde et continue », dit la Directrice générale de Freedom House, Jennifer Windsor.
Entre autres tendances dans le domaine de la presse, on constate les empiètements de l’État sur les médias en ligne et les blogueurs. Au Kazakhstan et au Kirghizistan, par exemple, les deux gouvernements ont adopté des lois catégorisant les sites web comme des médias de masse, soumettant ainsi les blogueurs au même corpus de lois restrictives sur la presse que subissent dans ces pays les médias traditionnels. Au Kazakhstan, des blogueurs critiques sont accusés en vertu d’une disposition du code criminel qui pénalise la personne qui « insulte l’honneur et la dignité du président ».
La diffamation sert d’arme contre les journalistes dans plusieurs des États qui naissent à la démocratie. Au Monténégro, la diffamation entraîne de lourdes amendes qui peuvent aller jusqu’à 14 000 ; l’an dernier, le journaliste Andrej Nikolaidis a été condamné à verser des réparations de 12 000 pour des articles dans lesquels il critiquait un cinéaste. La Macédoine a connu 160 affaires de diffamation contre des journalistes en 2008 et 2009, tandis qu’en Azerbaïdjan, la diffamation criminelle est toujours en vigueur, en dépit d’une large réprobation internationale.
Les pays ne comptent pas uniquement sur les tribunaux pour viser les journalistes, toutefois. En Moldavie, des journalistes ont été empêchés d’entrer au pays pour couvrir la violence qui a suivi les élections, les autorités ayant invoqué des difficultés techniques qui n’empêchaient pas auparavant les reporters de franchir la frontière. Plusieurs défenseurs des droits de la personne et journalistes de la région ont aussi été tués ou jetés en prison. L’an dernier, Natalïa Estemirova, qui enquêtait sur les violations des droits de la personne en Tchétchénie, a été enlevée et assassinée.
La situation est quelque peu meilleure, cependant, dans la plupart des États des Balkans. En dépit de légers reculs, l’Albanie, la Bosnie et l’Herzégovine, le Kosovo, la Serbie et la Macédoine ont réalisé des progrès dans des domaines comme les médias indépendants et le processus électoral, d’après ce qu’indique le rapport.

Pour lire le rapport intégral, aller à :
Nations in Transit 2010
Source: communiqué de l'IFEX

Egypte: Violence contre des manifestants dénonçant un homicide

Lors de plusieurs manifestations publiques qui ont eu lieu pendant tout le mois de juin pour protester contre l’homicide brutal par la police de l’activiste Khaled Said Qasem à Alexandria le 6 juin, des dizaines de manifestants ont été tabassés et arrêtés arbitrairement, selon ce que rapportent l’Organisation égyptienne de défense des droits de la personne (Egyptian Organization for Human Rights, EOHR), le Réseau arabe d’information sur les droits de la personne (Arabic Network for Human Rights Information, ANHRI), Human Rights Watch et le Comité pour la protection des journalistes (CPJ).
Le 25 juin, 55 personnes ont été arrêtées, dont des passants. Selon Human Rights Watch, la police a piégé une centaine environ de manifestants dans une ruelle puis a commencé à les tabasser, tant les femmes que les hommes, qui n’avaient pas d’issue par où s’échapper. Plus tôt, le 13 juin, 36 manifestants ont été arrêtés lors d’une manifestation contre le meurtre de Said Qasem. Un des manifestants présents a déclaré que les agents de sécurité les avaient frappés à coups de poing et à coups de pied.
« Ce cycle qui consiste, pour les agents de sécurité, à tabasser des manifestants non violents, à les détenir pendant des heures sinon des jours, puis à les relâcher sans porter d’accusations, cela doit cesser », dit Joe Stork de Human Rights Watch.
Khaled Said Qasem a été battu à mort par des agents de la police secrète peu après avoir affiché en ligne une vidéo montrant des policiers se partageant les recettes d’une transaction de drogue. Le jeune homme de 28 ans a été arrêté dans un café Internet par des policiers en civil puis emmené dans la rue où des agents de sécurité en civil l’ont agressé au point où il en est mort, selon les dires des témoins, qui ont été recueillis par des membres de l’IFEX. Bien que la police ait d’abord déclaré que Said Qasem était mort parce qu’il avait avalé de la drogue avant son arrestation, les photos de son cadavre tuméfié ont amplement circulé sur les sites web des médias sociaux en Égypte, fait remarquer RSF. Le 3 juillet, deux policiers ont été inculpés de torture, mais non de meurtre, en rapport avec le passage à tabac de Said Qasem.
« Il est rare que des policiers soient poursuivis pour des violations en Égypte; ces poursuites sont un pas dans la bonne direction », dit RSF. « Mais nous invitons le système judiciaire égyptien à franchir l’étape qui reste et à les inculper de meurtre. »
La loi égyptienne sur l’état d’urgence confère à la police de vastes pouvoirs d’outrepasser le droit d’assemblée non violente, de fouiller les personnes sans mandat et de détenir les gens indéfiniment, sans accusations.
Les journalistes égyptiens ont aussi été visés la semaine dernière par des amendes monstrueuses, rapporte l’EOHR. Le 28 juin, deux reporters du journal « El-Wafd » ont été condamnés à verser une amende de 240 000 livres égyptiennes (env. 42 000 $US) dans une affaire de diffamation entamée par le vice-président du Conseil d’État égyptien et président du club des juges membres du Conseil.
Source: communiqué de l'IFEX

Les éditeurs de sites X français ne voient pas d'un bon oeil l'extension de domaine ''xxx''

Au plus tard début 2011, les premiers noms de domaine en ".xxx" devraient apparaître sur internet. Mais les éditeurs de sites français sont dubitatifs. S'ils déclarent vouloir pré-réserver leurs noms de domaine, c'est plus pour lutter contre le cybersquatting que par conviction de son intérêt.
L'Icann, organisme californien qui gère les noms de domaine Internet pour le monde entier, a accepté fin juin d'étudier à nouveau la création d'une extension ".xxx" spécifiquement dédiée aux sites pornographiques, et rendra sa décision finale d'ici à la fin de l'année. Son arrivée est prévue pour début 2011, peut-être même avant. Une décision qui satisfait pleinement ICM Registry, société à l'origine de cette demande.
Depuis six ans, la société bataillait ferme afin d'obtenir l'approbation du Government Advisory Comittee, instance qui, au sein de l'Icann, regroupe l'ensemble des représentants des pays membres. Depuis sa première requête, en 2004, l'argumentaire de l'ICM Registry repose sur un constat des plus basiques : le sexe fait l'objet d'un développement spectaculaire sur la Toile avec quelque 370 millions de sites dédiés. Les chiffres notamment compilés aux Etats-Unis se passent de commentaires : chaque seconde, plus de 3.000 dollars sont dépensés sur des sites X dans le monde, 25% des recherches effectuées sur des moteurs de recherche sont liées au sexe, 35% des téléchargements concernent des contenus pornos, et le chiffre d'affaires mondial du X sur Internet approche les cinq milliards de dollars.

Zone à risque pour le e-commerce
Pour autant, cette industrie reste opaque. Les sites "officiels" ayant pignon sur rue côtoient des entités beaucoup plus louches, aux contours indistincts, et où les arnaques sont monnaie courante. Conséquence directe : outre une image sulfureuse, l'industrie du porno en ligne constitue encore une zone à risque pour le développement du commerce électronique. D'où l'idée de lui attribuer une extension dédiée, qui faciliterait le contrôle des sites l'utilisant, leur apportant du même coup une certaine crédibilité commerciale. Par ailleurs, le regroupement au sein d'une extension unique permettrait une plus grande efficacité des systèmes de filtrage pour la protection des mineurs et la lutte contre la pédophilie.
Stuart Lawley, patron d'ICM Registry, déclarait le mois dernier qu'il comptait déjà 112.000 acheteurs pré-enregistrés pour des adresses en .xxx, la plupart d'entre eux opérateurs de sites Internet pornographiques. Mais s'il s'attend visiblement à une explosion des pré-réservations suite à l'annonce de l'Icann, ce n'est pas forcément le signe d'une adhésion massive de la communauté du X aux arguments avancés par ICM Registry.

Les éditeurs de sites X français pas emballés
En France, au sein de la société de production Marc Dorcel, on reste dubitatif quant à la pertinence de cette nouvelle extension : "On l'utilisera, mais je ne suis pas sûr que cela ait un intérêt majeur, estime Ghislain Faribeault, responsable des nouveaux médias. De toute façon, nous avons acheté toutes les extensions possibles. Notre pré-réservation pour le .xxx est faite. Je n'ai pas envie qu'un Dorcel.xxx déposé par quelqu'un d'autre se ballade sur la Toile". Le risque éventuel d'une exploitation de marque frauduleuse constitue visiblement un argument autrement plus sérieux que les raisons invoquées par ICM Registry.
Un sentiment partagé par Vincent Gresser, directeur général de la société de production Colmax, dont l'extension en .xxx est également réservée mais qui n'est pas certain de vouloir l'utiliser: "Son impact ne sera pas déterminant. Finalement, cela risque de 'ghettoiser' encore un peu plus une activité qui n'en pas besoin. Il existe différents types de contenus. Il ne faut pas tous les mettre dans le même panier en faisant un amalgame", juge-t-il.
Chez Rentabiliweb, groupe spécialisé sur la monétisation d'audience, on ne se sent guère concerné par cette initiative. Le site, qui a revendu les 9/10ème des sites de charme acquis lors du rachat du groupe Montorgueil pour n'en conserver que deux ou trois, s'estime "incompétent" en la matière : "Nous gagnons plus d'argent dans le jeu que dans l'adulte. Et, si d'aventure, quelqu'un nous prend une extension, nous lancerons une procédure. C'est tout.", rétorque-t-on au sein de Rentabiliweb.
D'autres acteurs se sentent un peu contraints et forcés de postuler. C'est le cas de Richard Fahl, le directeur général des Editions Concorde : "Sur le principe, je suis contre. C'est référencer l'industrie du X pour, à la première occasion, l'enfermer dans un ghetto. 70% des Français consomment régulièrement des films X, des sex toys ou de la lingerie coquine. Les mettre et nous mettre dans un ghetto n'est pas très agréable. D'un autre côté, nous avons affaire à des mastodontes sur ce marché. Donc oui, nous allons nous pré-enregistrer", explique-t-il.
Source: www.lexpansion.com

jeudi 8 juillet 2010

Global Voices réseau mondial de blogueurs

Global Voices a pour but de favoriser le dialogue mondial sur le Web en sélectionnant, traduisant et diffusant des billets publiés sur les blogs du monde entier pour offrir de nouveaux éclairages sur des lieux, événements et personnes peu couverts par les médias traditionnels.
Global Voices Nos Projets
Global Voices est traduit de l’anglais vers 18 langues (et bientôt plus) par des traducteurs bénévoles, qui forment la plateforme de traductions Lingua. Global Voices a également créé le site et le réseau pour la liberté d’expression Global Voices Advocacy, pour venir en aide aux internautes vivant dans des lieux où leur voix est censurée. Nous avons enfin un projet de formation aux nouveaux médias, Rising Voices, pour que des personnes ou groupes marginalisés puissent utiliser les médias personnels en ligne pour se faire entendre, avec un focus sur le monde en développement.

À propos de Global Voices Online
Global Voices Online est une organisation à but non lucratif de plus de 200 blogueurs du monde entier, fondée au Berkman Center for Internet and Society de la faculté de droit de Harvard. Ils proposent des revues de blogs du monde entier traduites en 18 langues, en accordant une attention toute particulière aux voix absentes des médias traditionnels.

Principaux objectifs de Global Voices
A une époque où les grands médias traditionnels font l’impasse sur beaucoup d’informations qui sont néanmoins importantes pour un grand nombre de citoyens de par le monde, Global Voices souhaite corriger ces disparités dans le traitement de l’actualité en utilisant le pouvoir des médias personnels en ligne.
Source: Agence Relations Presse
http://communiques-presse.com

Kaksee une vision alternative de la publicité

De jeunes entrepreneurs lancent KaKSee.fr, un site dédié à la publicité rémunérée, et appellent à une mobilisation des consommateurs pour attirer l’attention des annonceurs.
Les études et statistiques montrent que la plupart des créations publicitaires en ligne sont ignorées par les internautes. Pourtant, les annonceurs payent le plus souvent pour chaque affichage de leurs publicités, qu’elles soient vues ou non. La majeure partie de leur budget est donc dépensée de manière inefficace.
L’idée des fondateurs de KaKSee, c’est d’utiliser cet argent pour rémunérer leurs membres en proposant aux annonceurs un support où ils sont assurés que leurs publicités sont regardées attentivement par leur cœur de cible. Le système est simple : après avoir rempli un profil descriptif complet lors de l’inscription au site, le membre se connecte quand il veut pour recevoir des publicités ciblées sur son profil. A la fin de chaque spot, il faut répondre correctement à quelques questions (1 à 3 maximum) et donner une note afin d’être payé.
Créer une relation équitable entre marques et consommateurs
Dans le modèle que propose KaKSee, tout le monde est gagnant : les marques dépensent leur budget efficacement et les consommateurs gagnent de l’argent, jusqu’à 100 euros par mois en quelques minutes d’attention quotidienne. Les marques ont par ailleurs la possibilité de proposer aux membres de recevoir par email des offres privilégiées sur les produits vus dans les spots publicitaires. Les consommateurs peuvent donc en plus faire des économies sur des produits adaptés à leurs besoins.

Un modèle publicitaire qui appartient aux consommateurs
KaKSee est en phase de lancement et ne propose pas de publicités à visionner pour le moment. Le concept est viable à condition d’avoir une large audience pour attirer les marques. Les fondateurs du site en appellent donc à la mobilisation de tous les consommateurs pour exiger une publicité respectueuse et rémunératrice, soutien idéal à leur pouvoir d’achat. Leur slogan : « ensemble, prenez le contrôle de la pub ».
Source: Agence Relations Presse
http://communiques-presse.com

Woerth/Bettencourt: La rétractation partielle de l’ex-comptable

Entendue de nouveau dans la nuit du mercredi 7 au jeudi 8 juillet par la police, l’ancienne comptable des Bettencourt, Claire Thibout, a contesté avoir donné une date précise pour le retrait de 50 000 euros et assure n'avoir jamais évoqué de remise d'espèces à Nicolas Sarkozy.
Claire Thibout la comptable personnelle des Bettencourt a été entendue une partie de la nuit, en urgence, par les enquêteurs. Contrainte d'en dire plus, face aux policiers, elle a dû détailler, expliciter le contenu des fameux carnets dans lesquels elle mentionnait tous les mouvements d'argent des Bettencourt.
Et semble-t-il, la comptable a fait marche arrière. Alors que ces derniers jours, elle annonçait que des personnalités politiques de premier plan, comme Eric Woerth et même Nicolas Sarkozy, avaient bénéficié des largesses financières de l'une des premières fortunes de France pour financer leurs activités politiques, elle est revenue partiellement sur ses déclarations.
Certes, l'ex-comptable confirme toujours la scène où au printemps 2007, pendant la campagne présidentielle, elle a remis de l'argent en espèce, comme elle en avait l'habitude, à ses employeurs. Mais aujourd'hui, elle n'affirme plus que cet argent servait à financer de manière occulte les activités politiques du parti du chef de l'Etat.
Ce jeudi après-midi, les policiers devaient confronter la comptable et le gestionnaire de fortune des Bettencourt, Patrice de Maistre. A l'issue de ces auditions, deux possibilités : soit la piste d'un financement illégal est abandonnée, soit les soupçons persistent. En attendant, les revirements et les hésitations de la comptable offre un peu d'air frais au gouvernement, au moins pour quelques heures.
Source: www.rfi.fr

mercredi 7 juillet 2010

Affaire Woerth/Betten: L'incroyable est-il vrai?

Abus de faiblesse, enregistrements pirates, présomptions d'évasion fiscale... L'affaire Bettencourt trouve plusieurs prolongements judiciaires.

L'abus de faiblesse
- La fille de Liliane Bettencourt accuse l'artiste François-Marie Banier d'avoir spolié sa mère d'une partie de sa fortune.
- Le parquet de Nanterre a enquêté après une plainte pour abus de faiblesse déposée par la fille de Mme Bettencourt. Cette enquête a été classée sans suite en septembre 2009 pour "insuffisance d'éléments pour rapporter la preuve d'un abus de faiblesse".
- Françoise Bettencourt-Meyers a fait citer le photographe directement devant le tribunal correctionnel de Nanterre le 1er juillet. Le procès a été renvoyé à cause d'enregistrements clandestins versés au dossier par la fille de la milliardaire.

Les enregistrements pirates
- Les conversations piratées entre Liliane Bettencourt et son entourage ont donné lieu à l'ouverture d'une enquête préliminaire à Nanterre pour atteinte à la vie privée et vol de documents.
Trois personnes ayant travaillé au service de la milliardaire, dont l'ex-comptable Claire T., ont été placées en garde à vue les 18 et 19 juin.

Les présomptions d'évasion fiscale
- Le procureur Philippe Courroye a suggéré, dans un rapport daté du 23 juin adressé à sa hiérarchie, d'enquêter sur les délits potentiels révélés par les enregistrements clandestins, dont un éventuel blanchiment de fraude fiscale.
- Sur le plan administratif, l'Inspection générale des finances doit rendre vendredi son enquête sur la gestion du dossier fiscal de Liliane Bettencourt.

L'éventuel financement politique illégal
Le ministre du Travail va déposer plainte contre X pour dénonciation calomnieuse.
Le parquet de Nanterre a ouvert une enquête préliminaire sur les propos tenus par l'ancienne comptable de Mme Bettencourt, Claire T. qui a fait état de possibles financements politiques illégaux de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007.

La plainte contre X
Eric Woerth va déposer plainte contre X pour dénonciation calomnieuse auprès du TGI de Nanterre, "concernant la réception de fond en espèces au fin de financement illégal d'activité politique".

Les poursuites pour diffamation
- Des plaintes pour diffamation ont été annoncées par Florence Woerth pour des propos tenus par l'eurodéputée Eva Joly, le député PS Arnaud Montebourg et par le fondateur de Mediapart Edwy Plenel.
- Me Olivier Metzner a annoncé qu'il allait assigner Me Georges Kiejman, avocat de Liliane Bettencourt, pour l'avoir accusé d'être "le cerveau" des enregistrements clandestin.
Source: www.lexpansion.com