dimanche 13 janvier 2013

L'immobilier locatif en régime général : comment percevoir des revenus locatifs ?


Louer des appartements nus, neuf ou anciens, et même des parkings permet de percevoir des revenus locatifs sur lesquels vous devrez payer des impôts, que vous les perceviez directement ou par une Société Civile Immobilière.

Le capital d'un investissement immobilier n'est pas garanti. Il est soumis aux fluctuations du marché de l'immobilier dans la zone où se situe votre bien immobilier. Investir dans l'immobilier comporte toujours une part de risque lié simplement à la zone géographique.

L'argent investi dans un bien immobilier est toujours disponible dans la mesure où vous pouvez vendre le bien immobilier que vous possédez. Soyez prévoyant car entre le moment où vous décidez de vendre un appartement ou un immeuble locatif et celui où vous toucherez l'argent, il peut se passer plusieurs mois.
Le rendement ou rapport de votre investissement locatif dépend surtout de l'évolution du marché local. Il peut varier entre 5% et 10% suivant les localités.

Les revenus locatifs, perçus directement ou via une Société Civile Immobilière, sont imposables et doivent être portés sur la déclaration d'impôts grâce à des imprimés spéciaux.
Si les revenus fonciers ne dépassent pas 15000 euros par an et que vous ne possédez pas un bien immobilier concerné par les dispositifs De Robien, Borloo, Malraux ou Monuments Historiques, vous êtes dans le régime du micro foncier. Les loyers sont imposables à 70% de leur montant au barème progressif de l'impôt sur le revenu. Les prélèvements sociaux de 11% s'appliquent également.
Quand le montant des revenus locatifs dépassent la somme de 15000 euros, optez pour les frais réels. Vous pouvez déduire les intérêts d'emprunt concernant l'achat du bien locatif, les provisions sur charges de copropriété, les dépenses pour travaux, les indemnités d'éviction, les frais de relogement, les frais de gestion, les primes d'assurance et la taxe foncière hors taxe des ordures ménagères. Gardez toujours les justificatifs en cas de contrôle de l'administration fiscale.

Lorsque les charges dépassent le montant des loyers perçus, vous réalisez un déficit foncier, dont la part provenant des intérêts d ?emprunt peut se reporter sur les années suivantes dans la limite de dix ans. Le déficit issu des autres charges peut être imputé sur le revenu d'ensemble du contribuable dans la limite de 1070 euros par an.

La plus-value immobilière est imposable à 16% auxquels s'ajoutent les 11% de prélèvements sociaux. La plus-value immobilière bénéficie d'un abattement de 10% par an à partir de la cinquième année de détention du bien immobilier. A cela s'ajoute une minoration systématique de 1000 euros sur vos revenus immobiliers. En quinze ans, l'exonération est atteinte.
Jean-Marie Noguier
Source: www.fruitymag.com
 

Reprise de finance : c'est quoi exactement ?

Reprise de finance, un mot qui est n'est sûrement pas encore bien connu des gens, mais qui est en ce moment en phase de gagner de plus en plus en popularité au Canada. Pourquoi ? Parce que désormais, tous ceux qui désirent acheter une propriété à prix discount peuvent le faire avec l'offre de reprise de finance. Mais beaucoup se demandent sans doute : que signifie reprise de finance ? Et bien en réalité, il s'agit d'un mot employé pour décrire une propriété saisie par un organisme bancaire pour être ensuite remise à la vente avec un coût inférieur à son prix d'origine.

Reprise de finance : l'origine
Localiser une maison en reprise de finance n'est pas vraiment compliqué si vous savez vous trouver au bon endroit. Mais il serait sans doute normal de vous expliquer tout d'abord plus en détail les raisons d'une mise en situation de reprise de finance. Et bien sachez que si une résidence a été mise en situation de reprise de finance, c'est tout simplement parce que :
- soit son propriétaire n'est pas parvenu à payer ses dettes,
- soit que le responsable immobilier est devenu insolvable pour l'assurance de ses maisons en vente.

Ce qu'il faut faire pour localiser une maison en reprise de finance ?
Si reprise de finance est donc pour les acheteurs un avantage, pour les propriétaires victimes, c'est un drame. Mais sans doute, certains d'entre vous ne savent peut-être pas encore où et comment trouver une résidence en reprise de finance au Québec. Et bien c'est n'est pas vraiment difficile. Soit vous vous servez de la toile comme outil de recherche, soit vous consultez ces revues spécialisées dans l'offre immobilière au Québec. Mais en tout cas, s'il s'agit de recenser le nombre d'offres de reprise de finance dans tout le Canada, c'est sans doute Laval et les Laurentides qui sont en tête.

Reprise de finance, une occasion pour faire une bonne affaire
Plus qu'avantageuse, la reprise de finance est donc votre meilleure option si vous êtes sur le point de concrétiser un achat de propriété. C'est qu'il vous faut juste, c'est d'être patient, et de savoir agir au bon moment dès qu'une offre d'achat de résidence en reprise de finance vous paraît intéressant.

Les critères à prendre en compte avant d'acheter une maison en reprise de finance
Quoique la reprise de finance soit un procédé très intéressant pour s'approprier d'une propriété à tarif concurrentiel, il est toujours important d'inspecter minutieusement l'état de la résidence avant de décider de se l'approprier. Aussi, pensez tout d'abord à faire vérifier minutieusement par un expert l'état de votre future maison avant de conclure. Toitures, finitions, entretien, fondations, tout doit être passés au peigne fin. Quoi qu'il en soit, la reprise de finance reste la plus tendance actuellement s'il s'agit d'acheter à bas prix
Tony Landlord
Source: www.fruitymag.com
 

Pourquoi investir en nue-propriété...

La nue-propriété est un thème courant dans le monde de l'investissement immobilier.
Elle est le troisième droit attaché à la propriété, après l'usus et fructus.
La personne qui la détient doit respecter certaines obligations.
Son choix d'investir en nue-propriété n'est pas mauvais.
Il permet de bénéficier de nombreux avantages.

Comprendre la nue-propriété et les obligations qui s'y attachent.
Une personne qui obtient la nue-propriété perd le droit d'usage et de percevoir le fruit d'un bien qui lui appartient.
Elle ne conserve que le droit d'en disposer c'est-à-dire de le vendre, de le transformer ou de détruire le bien.
Ses seuls avantages se trouvent au niveau fiscal, lorsqu'elles accomplissent des gros travaux sur le bien démembré.
Un nu-propriétaire peut toutefois louer le bien immobilier démembré à un usufruitier.
Depuis quelques années, les investisseurs sont à la recherche d'alternatifs idéaux à l'investissement immobilier classique.
Ils ont exploité le droit de propriété pour en trouvé un.
C'est ainsi que l'investissement en nue-propriété, couramment appelé démembrement de propriété, a été créé.
Il donne la possibilité à un individu d'acheter la nue-propriété d'un bien immobilier, et à un bailleur d'obtenir le droit d'usage de percevoir le fruit durant une période allant de 15 à 20 ans.
Fini ce délai, la pleine propriété du bien rénové par le bailleur revient au propriétaire, sans frais supplémentaires.

La nue-propriété est une meilleure option pour investir dans des endroits où le prix de l'immobilier est plus élevé.
En effet, l'investisseur n'a qu'à payer un pourcentage allant de 50 à 60% de la valeur intégrale du bien.
La décote du prix d'un bien immobilier en nue-propriété permet d'investir en toute sécurité.
Les pertes sont limitées même s'il y a un retournement du marché.
D'ailleurs, le bailleur (l'usufruitier) va s'assurer de la bonne marche de l'investissement en se chargeant de la gestion, de l'entretien et de la remise aux normes du bien immobilier durant les 15 à 20 ans du contrat.
Investir en nue-propriété est aussi idéal car permettant de bénéficier d'une réduction significative de l'assiette de l'ISF et des impôts fonciers.
Muriel Trenquier
 

vendredi 11 janvier 2013

La Banque de France confirme que l’économie française est entrée en récession


La Banque de France confirme prévoir une contraction de 0,1% de l’économie française au quatrième trimestre 2012, dans sa troisième et dernière estimation fondée sur son enquête mensuelle de conjoncture publiée jeudi.
Selon l’agence Reuter, le chiffre de la croissance au quatrième trimestre sera publié le 14 février par l’INSEE. L’institut de la statistique a dit fin décembre prévoir une baisse de 0,2% du PIB au quatrième trimestre, avant une légère reprise début 2013.
L’enquête de la Banque de France fait apparaître par ailleurs une hausse de quatre points de l’indicateur du climat des affaires dans l’industrie, à 95, celui des services étant stable à 91.
Selon la Banque de France, » la production industrielle a légèrement progressé en décembre, en dépit d’un nouveau recul dans les machines et équipements et d’une baisse des autres matériels de transport (construction aéronautique, navale et ferroviaire) ».
Les livraisons se sont intensifiées dans l’ensemble des secteurs, à l’exception des fabricants d’équipements et de machines.
Le taux d’utilisation des capacités de production s’est stabilisé et les carnets de commandes restent à un niveau jugé insuffisant malgré de meilleures prises d’ordres. Les stocks de produits finis sont proches du niveau souhaité, ajoute-t-elle.
Dans les services, l’activité est quasi stable, le recul du travail temporaire et de la réparation automobile ayant, selon la Banque de France, compensé la progression des activités informatiques.
Les prix sont restés stables et les effectifs ont très légèrement fléchi.

B.L
Source: www.leconomistemaghrebin.com

 

La majorité des 52,6 millions de travailleurs domestiques dans le monde est victime de précarité

« Derrière les portes closes des domiciles privés où ils travaillent, les travailleurs domestiques, ainsi soustraits à la vue et à l’attention du public, sont demeurés longtemps hors du domaine relevant des moyens d’action conventionnels. » C’est par cette image morose que l’Organisation Internationale du Travail a présenté son rapport 2012 sur la situation des travailleurs domestiques dans le monde. Rendue publique hier, l’étude avance qu’entre 1995 et 2010, 9 millions de personnes supplémentaires ont rejoint le marché pour porter à plus de 52 millions le nombre d’employés domestiques, des femmes pour la plupart.
Employées pour des tâches de ménage ou d’assistance aux enfants ou aux personnes âgées, ces femmes sont surexploitées, comme le précise bien Sandra Polaski, directrice générale adjointe de l’OIT. « On attend souvent des travailleurs domestiques qu’ils travaillent davantage d’heures que les autres travailleurs et dans de nombreux pays ils ne jouissent pas des mêmes droits au repos hebdomadaire que les autres travailleurs », a-t-elle affirmé. En effet, selon le rapport, plus d’un tiers des travailleuses domestiques n’ont aucune protection de la maternité. La majorité d’entre elles sont exclues de la législation nationale du travail et 45% n’ont droit à aucun repos hebdomadaire ni congé annuel payé.
S’appuyant sur les statistiques officielles de 117 pays, le rapport met en relief des zones où la situation des domestiques est la plus périlleuse. Il s’agit principalement de l’Asie, avec 41% des travailleurs domestiques. En Arabie Saoudite et au Qatar la durée du travail hebdomadaire moyenne dépasse même les 60 heures.
Des chiffres contraignants pour les experts de l’OIT qui ont essayé, en plus de focaliser sur des chiffres et des statistiques, d’analyser les mécanismes de la protection légale disponibles dans ces pays concernés par le rapport. Pour Martin Oelz, expert à l’OIT, le travail domestique « qui a longtemps été absent des débats de politiques publiques, des réformes sociales et de la protection du travail », doit désormais être protégé par des lois et des instruments juridiques effectifs. La Convention (n° 189) sur les travailleuses et travailleurs domestiques en est une. Adoptée en juin 2011 par la Conférence générale de l’Organisation internationale du Travail, ce texte offre un cadre normatif pour un travail domestique décent. Ratifiée jusqu’ici par trois pays seulement, la convention serait pour la Tunisie un outil pratique et profitable, d’autant plus que le travail domestique dans les diverses régions du pays est largement marginalisé.
Non seulement le nombre exact des employés domestiques en Tunisie est inconnu, mais le cadre juridique réglementant le secteur est réduit à une unique et ancienne loi: la loi de 1965 relative à la situation des employés de maison. D’où la nécessité pour les activistes tunisiens, comme les militantes de l’Association des Femmes Tunisiennes pour la recherche sur le développement, de ratifier la Convention (n° 189). Dans une étude présentée l’été dernier, l’Afturd avait en effet dévoilé que « sur un échantillon de 100 employées de maison interrogées, 14,2 % ont déjà subi des violences sexuelles, plus de 50% sont mineures et 97,8% ne touchent pas le salaire minimum ».
Hafawa Rebhi
 

Quand l’action Facebook rebondit sur un brouhaha

L’action Facebook vient de franchir la barre des 30 dollars, un cours des plus éminents depuis près de six mois. Et pour cause, une annonce majeure qui se fera lors d’une conférence de presse le 15 janvier.
Intérêt ou audace, les investisseurs font preuve de courage, ils n’ont plus peur de Facebook. Avec un taux de croissance de 10%, l’action du réseau social reprend des couleurs, et la firme rassure enfin ses investisseurs. Rappelons que l’action a été au plus bas de toute son histoire le 4 septembre dernier, à 17,73 dollars contre une entrée en mai à 38 dollars.
Il a suffi d’une simple annonce, sous forme d’une invitation à une conférence de presse qui se tiendra le 15 janvier au siège de la firme, à Menlo Park en Californie, pour susciter tout leur intérêt.
Une invitation qui ne laisse personne indifférent, certes, mais qui ne permet aucune extrapolation non plus de ce qui pourrait être annoncé. Seul indice quant à ce qui est à venir: «Venez et voyez ce que nous construisons ». Une petite phrase qui rend certaines rumeurs plausibles, faisant ainsi grimper le titre de manière consistante.
Et pourtant les rumeurs n’en finissent pas : du Facebook phone au moteur de recherche, il ne reste plus qu’à attendre !
Faten Chabir
 

mardi 1 janvier 2013

La Mission Mars en première place dans une année de grands moments pour l’exploration spatiale

Washington - En 2012, l'agence spatiale des États-Unis a plongé dans les secrets d’autres mondes, a mis au point et testé de nouvelles technologies pour atteindre ces mondes, et a poursuivi ces objectifs en partenariat avec les agences spatiales de nombreux autres pays.
Le rover Curiosity, grand comme une voiture, a atterri sur la surface de Mars au mois d’août, sous les yeux émerveillés et fascinés d’un public Internet mondial de plusieurs millions de personnes.
Curiosity, équipé du Laboratoire spatial pour Mars, est le quatrième véhicule motorisé que la NASA a fait atterrir sur la Planète rouge ainsi que le plus sophistiqué. Sa mission est de chercher des signes qu'un environnement habitable a existé sur la planète à un moment de son passé.
« Nous avons atterri droit dans un ancien lit de rivière », a dit Michael Meyer, chercheur principal du Programme d'exploration de Mars de la NASA, lors d'une réunion début décembre. Des cailloux usés par l'eau photographiés par Curiosity à ses débuts ont confirmé qu’un élément primordial pour la vie coulait jadis sur la surface maintenant sèche.
Curiosity effectue une mission de deux ans sur Mars. Le siège de la mission au Laboratoire de propulsion par réaction en Californie va bientôt envoyer le rover en excursion vers une montagne voisine à la recherche de davantage de signes d'un environnement qui pourrait avoir été propice à la vie.
Les instruments scientifiques à bord du véhicule recueillent des données sur les multiples caractéristiques du paysage. Une station de surveillance de l'environnement construite et fournie par des scientifiques espagnols enregistre des informations sur les variations journalières et saisonnières des conditions climatiques martiennes. L’Institut météorologique de la Finlande a également contribué à cet instrument scientifique.
La collecte de données environnementales martiennes sur une période d’un an fournira des informations essentielles aux planificateurs et ingénieurs de la NASA, qui étudient la façon de maintenir en vie le premier équipage humain à se poser sur Mars dans les décennies à venir.
Mars a très peu d’atmosphère, laissant la surface exposée à des niveaux élevés de radiations solaires et spatiales, et c'est une préoccupation majeure pour une future mission avec équipage. L’agence spatiale allemande a contribué à la conception et la construction du dispositif d'évaluation de radiation qui permettra de suivre cet élément essentiel des conditions environnantes de Curiosity.
L'Agence spatiale fédérale russe a contribué un instrument essentiel à la détection de l'eau, l'Albédo dynamique des neutrons, qui permet de détecter des molécules d'eau liées aux minéraux souterrains peu profonds.
LA STATION SPATIALE
La Station spatiale internationale (ISS) a été à l'avant-garde de la collaboration scientifique entre la NASA et d'autres agences spatiales. Ce partenariat a fêté 12 ans d'occupation humaine permanente sur l'ISS au début du mois de novembre. Les résidents internationaux en rotation dans la station ont effectué plus de 1.500 expériences, nombre d'entre elles produisant des résultats qui élargissent la connaissance humaine de la médecine, de l'environnement et de l'univers.
Les découvertes faites à bord de l'ISS, publiées en août, identifiaient des techniques pour aider les membres de l'équipage à conserver davantage de densité osseuse durant des séjours de plusieurs mois dans un environnement sans gravité. La détérioration de l'os en apesanteur est un autre risque pour les voyageurs de l’espace s’ils doivent voyager vers des destinations de plus en plus éloignées de leur propre planète.
LE SYSTÈME SOLAIRE
La collaboration scientifique internationale dans l'espace est également en train d’approfondir notre compréhension de la planète Terre. Les données fournies par la NASA et l'Agence spatiale européenne aident les experts à produire ce que l'agence spatiale appelle « l'évaluation la plus complète et précise à ce jour des pertes des calottes glaciaires du Groenland et de l'Antarctique ». La fonte et la séparation de ces masses de glace est liée au changement climatique et à l'augmentation par la suite du niveau de la mer. Les études de la NASA annoncées en novembre concluaient que le Groenland et l'Antarctique perdent plus de trois fois plus de glace que dans les années 1990. Le Centre aérospatial allemand était un partenaire de l'étude.
La glace sur Mercure est une autre découverte importante de la NASA en 2012. Un vaisseau spatial sans équipage est arrivé sur la planète la plus proche du Soleil en mars 2011 et a fourni, cette année, une « preuve convaincante » pour la théorie que Mercure stocke un volume important de glace d'eau dans ses cratères polaires, qui ne sont jamais orientés vers le soleil. Combien de glace ? Suffisamment pour ensevelir la ville de Washington, qui fait 177 kilomètre carrés, sous plus de 3 kilomètres de glace, selon la NASA.
Même avec toutes ces activités en cours, la NASA se tourne vers l'avenir. En juillet, l'agence spatiale a marqué une étape importante concernant les vols spatiaux avec équipage en livrant pour essai la capsule Orion, le prochain véhicule à emmener l'homme dans l'espace. La NASA dit qu’Orion deviendra le vaisseau spatial le plus sophistiqué jamais conçu, capable de soutenir la vie de son équipage sur des vols de longue durée dans l'espace puis lors de la rentrée dans une atmosphère planétaire.
La NASA et des partenaires du secteur privé avancent également sur le développement du système de lancement spatial qui fournira assez de puissance pour propulser Orion au-delà des liens de la gravité et d’explorer des cibles dans le système solaire.
Début décembre, l'agence spatiale a annoncé un plan à long terme pour l'exploration de Mars. Plusieurs missions scientifiques robotisées supplémentaires permettront de mieux comprendre la Planète rouge avant l’envol d’une mission avec équipage dans les années 2030.
Source: http://iipdigital.usembassy.gov/st/french/article/2012/12/20121227140451.html#ixzz1XtXxJULz