mercredi 6 novembre 2013

Selon les données publiées aujourd’hui par l’Eurostat, l’office statistique de l’Union européenne, en 2012, 827 millions de passagers ont voyagé par avion dans l’UE, soit une hausse de 0,7% par rapport à 2011. « L’évolution sur une plus longue période, le transport aérien de passagers a augmenté de 10.0% par rapport au creux enregistré en 2009 suite à la crise financière, mais de seulement 3,6% par rapport à 2008 », expliquent les analystes de l’Eurostat. En 2012, le plus grand nombre de passagers aériens a été enregistré au Royaume-Uni (203 millions, +0,8% par rapport à 2011), en Allemagne, en Espagne, en France (135 millions, +2,7%) et en Italie (116 millions, -0,1%). En moyenne dans l’UE27, le nombre de passagers aériens a augmenté de 0,7% entre 2011 et 2012, les hausses les plus importantes ayant été observées en Lituanie (+17,6%) ainsi qu’en Estonie (+15,5%), et les plus fortes baisses en Slovénie (-14,1%) et en Slovaquie (-13,5%). En 2012, London/Heathrow est resté l’aéroport de l’UE le plus fréquenté avec 70 millions de passagers transportés, en hausse de 0,9% par rapport à 2011. Paris/Charles de Gaulle (61 millions, +1,0%) et Frankfurt/Main (57 millions, +1,8%) ont occupé respectivement les deuxième et troisième places des aéroports les plus fréquentés, suivis d’Amsterdam/Schiphol (51 millions, +2,6%) et de Madrid/Barajas (45 millions, -8,9%). Vingt des trente principaux aéroports ont enregistré une hausse du nombre de passagers transportés en 2012, Berlin/Tegel ainsi que Nice/Côte d’Azur (+7,4% chacun) affichant les hausses les plus marquées, suivis de Wien/Schwechat (+5,2%) et de Manchester (+4,5%). Les plus fortes baisses ont quant à elles été observées pour Athènes (-10,2%), Madrid/Barajas (-8,9%), Praha/Ruzyne (-8,1%) et Gran Canaria (-6,6%). London/Heathrow (42 millions) a transporté le plus grand nombre de personnes sur les vols extra-UE. Par M.T http://www.leconomistemaghrebin.com/2013/11/05/pres-de-830-millions-de-passagers-ont-voyage-en-2012-dans-lue/

Vladimir Poutine en tête du classement des personnes les plus puissantes au monde

Selon l’édition 2013 du classement établi par le magazine Forbes, le président russe Vladimir Poutine est en tête du classement des personnes les plus puissantes au monde. « Poutine a renforcé son contrôle sur la Russie et tous ceux qui ont observé le jeu autour de la Syrie ont saisi le glissement de pouvoir vers Poutine sur la scène internationale », explique le magazine américain. Deuxième du classement, le président Barak Obama est suivi par le président chinois Xi Jinping, le Pape François et la chancelière allemande Angela Merkel. Par BL Source:www.leconomistemaghrebin.com

Pourquoi le secrétaire d’Etat américain ne s’arrête-t-il pas à Tunis ?

Le secrétaire d’Etat John Kerry n’a pas prévu de s’arrêter à Tunis au cours du périple qui le mène du 3 au 11 octobre 2013 dans six capitales arabes dont deux maghrébines (Le Caire, Ryad, Abou Dhabi, Amman, Rabat et Alger). Que cela concerne la sécurité ou encore l’économie, la visite de Tunis aurait pourtant été salutaire. La question taraude sans doute certains esprits. La voici : Pourquoi le titulaire du portefeuille des Affaires étrangères américain, le secrétaire d’Etat John Kerry, n’a pas prévu de s’arrêter à Tunis au cours du périple qui le mène du 3 au 11 octobre 2013 dans six capitales arabes, dont deux maghrébines (Le Caire, Ryad, Abou Dhabi, Amman, Rabat et Alger) ? Aucune information n’a pour l’heure du moins circulé sur le déplacement de John Kerry à Tunis. La question mérite d’autant plus d’être posée que l’escale de Tunis aurait été on ne peut plus intéressante pour un sujet dominant du périple du secrétaire d’Etat américain : la sécurité dans la région devenue un épicentre du fléau terroriste, une menace réelle pour non seulement la région dite MENA- Afrique du Nord et Moyen-Orient-, mais aussi l’Europe au travers d’un réseau assez complexe : des échos publiés dans la presse font état d’ « une liste de 16 français d’origines tunisienne et algérienne recherchés par la France pour des soupçons d’implication dans le terrorisme ». Une commission militaire mixte se réunit tous les ans Et s’il est vrai que les informations détenues par Alger et Rabat ainsi que leur lecture du terrorisme dans la région sont d’un grand intérêt pour John Kerry venus pour des consultations sur ce dossier, il en est de même pour Tunis qui est engagée dans une guerre ouverte contre le fléau terroriste. De plus, les relations étroites que Tunis et Washington ont toujours entretenues pour lutter contre le terrorisme plaideraient en faveur de l’escale de Tunis du secrétaire d’Etat américain. La coopération militaire entre les deux pays a, par ailleurs, débuté dans les années soixante. Une commission militaire mixte se réunit tous les ans et les Etats-Unis d’Amérique et la Tunisie font des exercices militaires conjoints. Sans oublier que les Etats-Unis d’Amérique restent le principal fournisseur d’armes de la Tunisie. Le Royaume alaouite est le troisième partenaire économique des USA Le second volet des entretiens entre Kerry et les responsables algériens et marocains concerne les relations économiques. L’étape algérienne voit l’organisation de la Deuxième réunion du dialogue stratégique USA-Algérie. Quant à l’étape marocaine voit la tenue de la seconde session du dialogue stratégique USA-Maroc. Deux réunions qui doivent tenter d’apporter de nouvelles perspectives à la coopération entre les Etats-Unis d’Amérique avec l’Algérie et le Maroc. Ces deux pays maghrébins entretiennent de solides relations économiques avec les USA. Les sociétés pétrolières américaines figurent parmi les opérateurs économiques les plus importants en Algérie et les USA sont le principal client de ce pays en matière d’hydrocarbures. Quant au Maroc que l’on présente souvent comme un « allié traditionnel » des USA au Maghreb, il est lié au Royaume chérifien, depuis 2006, par un accord de Libre-échange qui ne taxe plus près de 95% des produits marocains rentrant aux Etats-Unis d’Amérique ; les 5% restants doivent être exemptés d’ici 8 ans. Grâce à cet accord, le Royaume chérifien est le troisième partenaire économique des USA (après la France et l’Espagne). Autant dire qu’une escale de John Kerry à Tunis aurait été sans doute salutaire pour faire avancer la coopération tant au niveau sécuritaire qu’économique. Sur ce dernier volet, et à l’heure où l’économie tunisienne connaît des difficultés qui imposent des mesures draconiennes, le secours des Américains est le bienvenue, assurent plus d’un expert. Par Mohamed Ben Youssef http://www.leconomistemaghrebin.com/2013/11/06/pourquoi-le-secretaire-detat-americain-ne-sarrete-t-il-pas-a-tunis/

Les économies budgétaires dureront au moins jusqu'en 2017, prévient Cazeneuve

Le ministre français du budget, Bernard Cazeneuve, a prévenu que l'ensemble du quinquennat serait placé sous le signe des économies, dans un entretien mis en ligne mercredi 6 novembre par le quotidien Les Echos. "Nous devons aux Français la vérité sur les enjeux budgétaires : il faut mettre le cap sur les économies, jusqu'à la fin de la législature. Nous avons déjà décidé de 15 milliards [d'euros] d'économies pour 2014, ce qui est sans précédent, comme l'a reconnu d'ailleurs mardi la Commission. En 2015, il faudra porter notre ambition encore plus loin, et continuer en 2016 et en 2017", déclare-t-il. Il a qualifié ce chemin d'exigeant, "mais c'est celui qui nous sortira de la crise", a-t-il ajouté. "Je suis prêt à l'emprunter en prenant les risques nécessaires".Lire la suite de l'article: http://www.lemonde.fr/economie/article/2013/11/06/les-economies-budgetaires-dureront-au-moins-jusqu-en-2017-previent-cazeneuve_3509496_3234.html#xtor=RSS-3208

lundi 4 novembre 2013

Espionnage: Allemagne, France, Espagne et Suède surveillent à grande échelle, selon The Guardian

Les services de renseignement allemand, français, espagnol et suédois ont mis au point des systèmes de surveillance de masse des communications téléphoniques et internet en "collaboration étroite" avec l'agence britannique GCHQ, a révélé samedi le journal The Guardian. Lire la suite de l'article sur: http://www.leparisien.fr/high-tech/espionnage-allemagne-france-espagne-et-suede-surveillent-a-grande-echelle-selon-the-guardian-02-11-2013-3280771.php

Les entrepreneurs du nucléaire

Les innovateurs pourraient façonner l'avenir de l'industrie de l'énergie nucléaire. Deux « startups » américaines — Transatomic Power Inc. et TerraPower LLC — tentent de concevoir de nouveaux types de réacteurs qui, si elles parviennent à leurs fins, rendront l'énergie nucléaire plus compétitive et plus sûre. Selon les experts, le moment est venu d’innover dans l'industrie nucléaire, quand on considère qu’elle repose sur une technologie déjà vieille de 50 ans. Le coût des nouvelles centrales électriques est prohibitif et le problème des déchets nucléaires est toujours en attente de solutions d'ensemble. La résurgence de l'industrie, attendue il y a à peine quelques années, ne s'est jamais matérialisée. En raison des prix faibles du gaz naturel, les centrales électriques au gaz sont plus viables d'un point de vue économique que les centrales nucléaires. Dès lors, la plupart des entreprises de service public aux États-Unis, qui avaient envisagé de construire de nouvelles centrales, ont suspendu leurs projets. De plus, la catastrophe survenue en 2011 à la centrale nucléaire de Fukushima, au Japon, a ébranlé les partisans de l'énergie nucléaire et jeté un froid dans plusieurs pays. Les néophytes et les vétérans Une nouvelle génération d'ingénieurs spécialisés dans le nucléaire aux États-Unis pense que l'industrie a besoin d'innover. Benoit Forget, professeur en sciences et ingénierie nucléaire au Massachusetts Institute of Technology (MIT), est catégorique : « Ils sont enthousiastes et le goût du nouveau ne leur fait pas peur. » Les premiers à s'être attelés à la tâche de l’élaboration de nouvelles technologies nucléaires furent Leslie Dewan et Mark Massie, qui, lorsqu'ils étaient doctorants au sein du département de sciences et d'ingénierie nucléaire du MIT, proposèrent un réacteur à sels fondus capable de détruire les déchets (WAMSR) en 2012. Dans ce réacteur, le sel fondu (mélangé à du carburant) fait office de liquide de refroidissement en lieu et place de l'eau habituellement utilisée. L. Dewan et M. Massie ont lancé Transatomic Power Inc., dont le siège se situe à Boston, afin de mettre au point un tel réacteur. La Silicon Valley mise, quant à elle, sur un autre concept — le réacteur à onde progressive (TWR) — dans l'espoir qu'une énergie nucléaire plus séduisante pourra contribuer à ralentir le changement climatique. Un groupe de vétérans de l'industrie et d'experts nucléaires ont lancé TerraPower LLC, dont le siège se situe à Bellevue, dans l’État de Washington, afin de mettre sur pied le TWR, qui produit son propre combustible dans son noyau. Les réacteurs nucléaires de nouvelle génération promettent de rendre la production d'énergie nucléaire plus sûre, plus efficace et moins onéreuse, et de régler la question des déchets radioactifs, qui lui sont inhérents, et qui sont aujourd'hui stockés dans les centrales nucléaires. (Voir « l’Innovation nucléaire », ci-dessous) B. Forget du MIT n’a pas l'ombre d'un doute ; les startups doivent relever des défis financiers, réglementaires et logistiques. Après l'expérimentation et la simulation, TerraPower et Transatomic devront construire des prototypes opérationnels, concevoir des centrales commerciales et obtenir tous les permis nécessaires : un vrai parcours du combattant, et coûteux en plus. Avec le soutien du président de Microsoft Bill Gates, de l'inventeur Nathan Myhrvold et des fonds de capital-risque de la Silicon Valley, TerraPower bénéficie d'une assise financière solide. Elle travaille avec plus de 100 partenaires, principalement des laboratoires nationaux, des universités et des fournisseurs potentiels. Le capital de démarrage de Transatomic s'élevait à un million de dollars, somme réunie auprès des familles, des amis et des entrepreneurs locaux, selon son directeur général, Russ Wilcox. « Difficile d'imaginer un autre pays où vous pourriez lancer une entreprise nucléaire grâce à une initiative privée », fait-il observer. M. Wilcox a bon espoir que l'entreprise convaincra les investisseurs privés et le gouvernement des États-Unis de soutenir le concept de Transatomic. Il pense que son entreprise est en mesure de construire le WAMSR pour un tiers du budget nécessaire à la construction d'une centrale nucléaire aujourd'hui. « Nous pouvons complètement changer l'industrie », affirme-t-il. L'obstacle technique que les deux jeunes entreprises espèrent surmonter tient au manque de matériaux capables de résister aux conditions extrêmes du réacteur pendant plusieurs décennies. Mais, selon R. Wilcox, se conformer à la réglementation est un défi encore plus grand. B. Forget en convient et précise que c'est plus particulièrement le cas aux États-Unis. Même si le processus de certification de la conception aux États-Unis passe pour être la référence par excellence dans le monde entier pour la sûreté des réacteurs qui utilisent des technologies existantes, le processus américain ne débouche pas sur une certification pour des réacteurs comme ceux de TerraPower et de Transatomic. La Chine continue de construire de nouvelles centrales nucléaires, y compris celle-ci à Changjiang, dans la province de Hainan, au sud de la Chine. B. Forget fait remarquer que d'autres pays aux programmes ambitieux en matière d'énergie nucléaire pourraient être ouverts à de nouvelles idées. TerraPower s'emploie activement à trouver des partenaires pour l'aider à construire un prototype. Les cadres de l'entreprise se sont rendus en Chine, en France, en Inde, au Japon, en Corée du Sud et en Russie. Selon B. Forget, les chantiers dépendent principalement de la volonté d'un autre pays à construire une centrale commerciale sur son territoire. Ce dernier, et d'autres experts avec lui, estiment que l'énergie nucléaire a de l'avenir, puisque, selon l'Administration des États-Unis pour l'information sur l'énergie (EIA), les prix du gaz naturel devraient plus que doubler d'ici 2040. Sans expansion de la filière nucléaire, les prix de l'énergie dans le monde augmenteront et le réchauffement climatique s'aggravera, d'après Fatih Birol, l'économiste en chef de l'Agence internationale de l'énergie. « À plus long terme, le nucléaire fait partie de la solution », estime B. Forget, pour qui l'hésitation aux États-Unis et dans une partie de l'Europe pourrait être temporaire. D'autres pays continuent d’ailleurs d'élargir leur industrie de l'énergie nucléaire. ------- L'innovation nucléaire Pour son combustible, TerraPower se tourne vers l'uranium appauvri issu du processus existant d'enrichissement du minerai d'uranium ; Transatomic compte sur les déchets radioactifs provenant des réacteurs classiques. Ces entreprises sont prometteuses, car... • elles réduisent les déchets radioactifs et le besoin de stockage des déchets ; • elles capturent plus d'énergie issue du minerai d'uranium que les réacteurs classiques ; • leurs réacteurs sont soumis à la pression atmosphérique, ce qui induit un stress mécanique moindre, d’où une simplification des concepts et l’amélioration de la sûreté ; • elles permettent l'exploitation à des températures élevées, ce qui améliore l'efficacité de la conversion d'électricité. ---- 435 réacteurs de centrales nucléaires fonctionnent dans 31 pays et à Taïwan ; plus de 60 réacteurs sont en cours de construction, surtout en Chine, en Corée du Sud et en Russie ; la construction de 160 réacteurs supplémentaires est prévue ; 320 autres sont proposé, mais certains ne seront jamais construits ; d'ici 2035, la capacité de génération d'énergie nucléaire devrait augmenter de plus de 50 % par rapport au niveau de 2011. Source : World Nuclear Association (WNA), Agence internationale de l'énergie chaque année, à travers le monde, 210.000 mètres cube de déchets radioactifs sont produits par les installations de production d'énergie nucléaire ; 270.000 tonnes de combustible irradié sont stockées, la majeure partie sur les sites des réacteurs. Source : World Nuclear Association (WNA) Read more: http://iipdigital.usembassy.gov/st/french/publication/2013/10/20131018284891.html#ixzz2ji5KkxLh

vendredi 1 novembre 2013

Le Fantôme De l'Espace

« Le lieu le plus froid de l’univers » hanté par un fantôme de l’espace 31 octobre 2013 La nébuleuse du Boomerang est le plus froid des objets connus dans l’univers. Des astronomes utilisant un radiotélescope au Chili ont procédé à de nouvelles observations pour en savoir plus sur sa très basse température et déterminer sa forme réelle, qui ressemble étrangement à un spectre flottant dans l’espace. À une température saisissante de 1 kelvin (-272 °C), la nébuleuse du Boomerang est le plus froid de tous les objets connus de l’Univers - plus froid que le fonds diffus cosmologique qui est un résidu du Big Bang, l’explosion à l’origine du cosmos. Les astronomes utilisant l’ALMA (Atacama Large Millimeter/submillimeter Array), un radiotélescope géant installé dans le désert d’Atacama au Chili pour observer les ondes millimétriques, ont procédé à de nouvelles observations de cet objet afin d’en savoir plus sur sa très basse température et de déterminer sa forme réelle, qui ressemble étrangement à un spectre flottant dans l’espace. « Cet objet ultra-froid est extrêmement fascinant, et l’ALMA nous permet d’en apprendre bien plus sur sa vraie nature », a déclaré Raghvendra Sahai, chercheur et scientifique principal au Jet Propulsion Laboratory (JPL) de la NASA situé à Pasadena en Californie, et également auteur principal d’un article publié dans la revue Astrophysical Journal. « Ce que l’on pouvait observer depuis les télescopes optiques terrestres et qui semblait être un double lobe, ou une forme identique à celle d’un boomerang, se révèle être en réalité une structure beaucoup plus étendue, en rapide expansion dans l’espace. » L’image captée par l’ALMA ci-dessus a révélé la véritable forme de cette nébuleuse. La structure bleue en arrière-plan montre une forme classique en double lobe, avec une zone centrale plus étroite, visible depuis le télescope spatial Hubble de la NASA. La résolution dont dispose l’ALMA, ainsi que sa capacité à capter les molécules gazeuses froides, permettent de discerner la forme allongée de la nébuleuse, ici en rouge. Parmi les auteurs qui ont également participé à la rédaction de cet article, on retrouve Wouter Vlemmings, de l’École polytechnique Chalmers située à Onsala, en Suède ; Patrick Huggins, de l’université de New York ; Lars-Ake Nyman, du Joint ALMA Observatory, situé à Santiago, au Chili ; et Yiannis Gonidakis, du CSIRO (ou Australian Telescope National Facility). L’ALMA, un observatoire à vocation internationale, est né d’un partenariat entre l’Europe, l’Amérique du Nord et l’Asie orientale en coopération avec la République du Chili. La construction et le fonctionnement de l’ALMA sont gérés au nom de l’Europe par l’Observatoire européen austral, au nom de l’Amérique du Nord par le National Radio Astronomy Observatory des États-Unis, et au nom de l’Asie orientale par l’Observatoire astronomique national du Japon. Read more: http://iipdigital.usembassy.gov/st/french/inbrief/2013/10/20131030285466.html#ixzz2jQsBUOmA